Lorsque, dans mon livre « Le niveau vibratoire de la terre », j’avais identifié que, au tournant des années 2020 nous entrerions sous l’influence des quatrièmes degrés du Verseau et du Lion, j’étais un peu embarrassé pour décrire les possibilités des évènements que provoqueraient les symboles associés à ces degrés. En effet, la difficulté de l’astrologie prévisionnelle, consiste à déterminer comment un symbole donné est susceptible de s’exprimer dans la réalité et dans le vécu. Toutefois, au vu des évènements tragiques que nous connaissons depuis le 24 février dernier, les éventualités que j’avais émises lors de l’écriture de ce livre prennent un caractère concret dans une dimension excessivement plus tragique que je n’aurai pu l’imaginer.
4ème degré du Verseau : « Un homme de belle prestance monte les marches de l’escalier d’un palais, tandis que dans la cour, un cavalier d’âge mûr s’apprête à partir, tenant devant lui une cassette soigneusement fermée ».
Concernant le 4ème degré du Verseau, je m’interrogeais : « Verrons-nous le retour d’un régime impérial ou, à défaut, d’une royauté ? » et j’émettais la crainte de voir surgir une crise économique d’envergure. Par ailleurs, dans différents commentaires, j’ai toujours associé ce degré au retour de l’avènement d’un « pouvoir fort ». Un constat objectif de la situation politique actuelle de bon nombre de pays conforte cette approche.
4ème degré du Lion : « Au bord d’un étang un chat dans une pose d’attente, regarde ardemment un poisson nageant entre deux eaux ».
Mais c’est surtout la symbolique du 4ème degré du Lion qui m’inquiétait:« (…) De plus, l’image du félin guettant sa proie revêt un caractère nettement inquiétant… D’un certain point de vue, cette symbolique renforce celle du quatrième degré du Verseau : le félin aux griffes acérées guette le poisson placide. Encore une fois, toute extrapolation doit être considérée avec prudence, mais on ne peut s’empêcher de penser que cette image prête des intentions, sinon belliqueuses, du moins inamicales, du fort envers le faible. Étendue à l’échelle des nations, cette attitude pourrait générer la convoitise des pays forts par rapport aux pays plus fragiles, ou encore des puissants sur les démunis (…) ».
Je voudrais terminer ce bref article par une perspective d’avenir optimiste, mais je ne dispose d’aucun élément me permettant de le faire, d’autant plus que nous ne sommes qu’au début de cette période qui va durer une trentaine d’années.
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