L’avènement de l’ère du Verseau nous a donné plus de liberté mais aussi plus de responsabilités. Durant l’ère des Poissons lorsque l’on souhaitait voir se réaliser une demande, on la formulait sous forme de prière et on s’en remettait au bon vouloir du divin ou de l’Univers. Désormais, si la démarche est la même, il s’y ajoute une étape complémentaire non négligeable que j’exprime par cette expression : « Qu’est-ce que je fais pour » … que ma demande se réalise.
En effet, le niveau de vibrations de notre plan terrestre nous permet désormais d’intervenir sur le cours des choses afin qu’elles prennent la direction que nous souhaitons. Bien sûr à cela s’ajoutent les notions de loi de l’attraction, loi de temporalité et loi de création dont je parlerai peut-être dans un autre billet.
En synthèse, l’époque actuelle nous demande de savoir ce que l’on souhaite et nous permet d’agir sur le processus de Création afin de créer la réalité que nous souhaitons.
C’est dans ce contexte que, sous la plume de Didier van Cauwelaert, dans son livre intitulé « Au-delà de l’impossible », chapitre 20, je lis le récit d’une expérience scientifique qui fait écho à ce phénomène.
« Le docteur Wendland s’est récemment associé au doyen Radin (…). Ils ont dirigé une expérience, et leurs résultats ont été publiés dans « Physics essays », sous le titre : « La conscience et le modèle d’interférence à deux fentes ».
(…) Dans une plaque de métal, vous pratiquez deux fentes situées l’une à côté de l’autre, vers lesquelles vous dirigez ensuite un faisceau de lumière qui les traverse. Serait-il possible que votre volonté, au moment où vous vous concentrez sur la trajectoire de cette lumière, réussisse à la faire passer dans une seule de ces deux fentes ? La réponse est oui. On en a la preuve depuis que des instruments de mesure suffisamment précis ont mis en évidence cette action de l’intention sur une loi physique qui, par là même, s’en trouve modifiée. A une seule condition : Il faut qu’aucun autre témoin avant vous n’ait constaté que ce faisceau de lumière passait de manière naturelle par ces deux fentes. Car, sinon, comme dans l’expérience de causalité rétrograde du Dr Peoc’h il vous sera impossible de changer cette réalité, validée et pour ainsi dire figée par une première observation. Autrement dit, notre regard crée le monde ».
Outre le fait que cette expérience scientifique valide un phénomène déjà identifié par les spiritualistes, elle confirme une loi de la Nature qui veut que face à une situation donnée, un grand nombre de possibilités s’offre à nous. Et notre volonté, notre intention en choisissant une de ces solutions de façon volontaire, intuitive ou impulsive lui permet de se manifester de façon indélébile en effaçant toutes les autres.
J’hésite à écrire que le champ des possibilités qui s’offrent à nous est infini car, même si la loi du karma est de moins en moins prégnante, elle en limite malgré tout les possibilités.
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