Loin d’être sereine, la période actuelle est si mouvante qu’elle perturbe et qu’elle inquiète. Rien d’étonnant dans ce contexte aux sollicitations dont je fais l’objet de la part de nombreuses personnes qui sont soucieuses pour l’avenir. Devant le besoin croissant et sans cesse renouvelé d’obtenir des indications sur les probabilités d’évolution de la situation actuelle, je me suis pris au jeu. Pour réaliser cette étude, je me suis appuyé sur mon outil de prédilection, l’astrologie. Le résultat de ma recherche à fait l’objet d’un livre intitulé : « Le niveau vibratoire de la Terre »
Je rappelle que, autant dans le cadre d’une étude individuelle que dans une approche macroscopique, l’astrologie ne permet pas de déterminer ce qui va advenir dans les moindres détails. Car ce qui vaut pour les individus vaut également pour le collectif, à savoir que tout n’est pas écrit. Seuls l’échéancier et la tonalité des principaux chapitres sont donnés et il appartient aux individus ou aux sociétés d’écrire le détail de leur histoire.
A propos d’échéancier, en réalisant ces travaux, j’ai été confronté à des notions qui donnent le vertige. En effet, les techniques astrologiques appliquées au temps long ne concernent plus le cadre de notre petite existence terrestre, mais elles nous incitent à prendre du recul pour aborder le devenir des civilisations. Les techniques mises en œuvre (les ères astrologiques, les degrés symboliques, les dashas, les yugas) s’avèrent être des outils précieux pour expliciter le destin de sociétés ainsi que, plus largement, de l’humanité.
Cependant, en investiguant plus avant, ces techniques offrent la possibilité d’aborder le sujet avec une granulométrie à taille humaine. L’interprétation des degrés symboliques en particulier permet de déterminer le climat de périodes d’une trentaine d’année.
La mise en regard de la symbolique des degrés astrologiques avec le climat historique de chacune de ces périodes m’a montré la pertinence de cette approche dans le passé. Troublé par ces résultats, je n’ai pas hésité à faire des prévisions pour l’avenir, c’est-à-dire pour le XXIème siècle. Lorsqu’on s’aventure à prédire l’avenir, on se met toujours en danger, mais la teneur de ce que j’ai découvert en réalisant cet exercice justifie cette prise de risque.
Détailler ces prévisions dans le contexte du présent article serait trop long. Par contre l’échéancier que j’ai identifié pour le XXIème siècle m’incite à mettre en exergue un point d’attention. Sans vouloir être alarmiste, je souligne avec insistance cette mise en garde qui demande à être considérée avec vigilance.
En raison, entre autres, du récent avènement de l’ère du Verseau, il s’avère que rarement dans son Histoire l’humanité n’a joui d’autant de liberté pour se prendre en charge et déterminer son avenir. Mais cette situation a son revers. Les humains ne sont pas habitués à tant de liberté et ils n’en ont pas encore pris conscience. Ils se complaisent encore dans des attitudes dépassées, des modes de pensée désuets et ils perpétuent de vieilles habitudes. Mais gare ! Une remise en question des vieux schémas est nécessaire et elle ne viendra pas des dirigeants quels qu’ils soient qui ont avantage à maintenir les anciens rouages pour servir leurs intérêts propres. Ce point est essentiel : le temps où tout venait du collectif est révolu. L’élévation du niveau vibratoire individuel, en s’accompagnant d’un niveau de conscience plus élevé, permet de plus en plus à tout un chacun de décider de son sort.
La remise en question à laquelle je fais allusion fait écho à toutes les voix qui s’élèvent un peu partout sur la planète pour dire qu’il est plus que temps d’arrêter :
- D’épuiser la terre à grands coups de pesticides et d’engrais pour produire toujours plus
- D’ensevelir la Nature sous des tonnes et des tonnes de plastique
- De salir l’air avec des saletés chimiques de tous ordres
- D’empoisonner les eaux avec les déjections de notre société qui ne sont pas toutes naturelles
- Etc …
Tous ces combats sont louables, mais il faut aller au-delà.
L’élévation générale du niveau vibratoire rend possible une prise de conscience collective qui s’accompagne dès à présent d’un changement de point de vue. Notre planète n’est pas un bien inerte qui regorge de ressources dans lesquelles on peut puiser à outrance et selon notre fantaisie. Il est plus que temps de la considérer comme une entité vivante qui produit des ressources permettant de nous héberger et de nous nourrir. Et, au lieu de gaspiller notre Terre, nous, les humains, devrions nous positionner a minima en gestionnaires et, idéalement, en co-créateurs en inscrivant nos actions dans un mouvement d’accompagnement de la Nature au lieu de la contrarier, l’exploiter, la piller.
Pour être plus explicite, il convient de rappeler que notre planète suit sa propre évolution. Or, il s’avère que depuis quelques décennies, elle a franchi un palier qui s’accompagne d’une élévation considérable de son niveau vibratoire. Et l’humanité qui vit à sa surface a rarement eu autant de facilités pour élever son propre niveau vibratoire, ce qui lui permettrait de basculer vers un âge d’épanouissement à la fois collectif et individuel.
Par contre, si elle ne saisit pas cette opportunité, si elle se complaît dans son système de valeurs devenu obsolète, si elle ne se libère pas des ornières du passé, si elle continue à adopter une attitude de parasite par rapport à la planète, le pire est à craindre parce qu’une loi basique de la Nature montre que tout organisme vivant met tout en œuvre pour se débarrasser de ses parasites.
No Comments